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12 août 2016 5 12 /08 /août /2016 17:02

D’une façon récurrente, des femmes en préparation d’accouchement viennent à moi pour se plaindre du barrage brutal des instances médicales face à leur demande de récupérer deux petits cubes de leur placenta (dimension « vache qui rit »), prétendant que c’est interdit par la loi. Ces gens répètent comme des perroquets les mensonges en cascade venant d’en haut, mais n’ont jamais rien vérifié depuis le changement de 2011.

Rappel pour celles qui ne sont pas au courant

J'ai déjà abordé ce sujet dans cet article, paru en 2014, mais pour celles qui ne l'ont pas en tête, voici ce qu'il faut savoir.

Toutes les femelles des mammifères même herbivores mangent leur placenta après avoir mis bas. Dans les civilisations antiques (Indes, Amérique du sud…) les femmes absorbaient et prennent encore de leur placenta sous forme calcinée (spagyrie). Mais la grande médecine s’est appliquée à faire oublier cela, tant les effets sont extraordinaires. Entre les deux guerres, l’homéopathie a réintroduit ce précieux procédé naturel sous forme d’auto-iso pour le rétablissement rapide de l’accouchée et éventuellement pour le bébé en cas de maladie grave.

Mais dans les années 2000, la loi a interdit toutes les fabrications d’auto-iso pour de fausses raisons sanitaires (trop efficaces !). Devant la demande, j'ai expliqué dans mon livre : « Homéopathie courante par vous-même » comment élaborer simplement en 9ième Korsakov son iso-placenta, entre autres. Mais la guerre n’était pas finie car les femmes se voyaient de plus en plus souvent refuser en clinique le moindre petit morceau de leur placenta (sur les 500g éjectés !), alors que tout le monde sait que les milliers de placentas sont récupérés (gratuitement) à des fins pharmaceutiques.


Mais la loi a changé en juillet 2011

Elle dit que les "cellules du sang de cordon et du sang placentaire ainsi que les cellules du cordon et du placenta". ne sont plus considérées comme un déchet opératoire et devraient donc bénéficier de l’Article L.1211-2 du CSP qui dit :
« Les prélèvements d’éléments du corps humain et la collecte de ses produits, pour quelque finalité que ce soit, ne peuvent être pratiqués sans le consentement du donneur ».
En effet, en tant que résidu opératoire, depuis 2004, le placenta n’était apparemment pas soumis à cet article du CSP. Maintenant, la loi exclut des dispositions du code de la santé publique relatives aux déchets opératoires les "cellules du sang de cordon et du sang placentaire ainsi que les cellules du cordon et du placenta".


Pour entrer dans les détails  (Loi N° 2011-814 du 7 juillet 2011 relative à la bioéthique)

Article 18
Le titre IV du livre II de la première partie du code de la santé publique est ainsi modifié :
1° L'article L. 1241-1 est complété par un alinéa ainsi rédigé :
« Le prélèvement de cellules hématopoïétiques du sang de cordon et du sang placentaire ainsi que de cellules du cordon et du placenta ne peut être effectué qu'à des fins scientifiques ou thérapeutiques, en vue d'un don anonyme et gratuit, et à la condition que la femme, durant sa grossesse, ait donné son consentement par écrit au prélèvement et à l'utilisation de ces cellules, après avoir reçu une information sur les finalités de cette utilisation. Ce consentement est révocable sans forme et à tout moment tant que le prélèvement n'est pas intervenu.
Par dérogation, le don peut être dédié à l'enfant né ou aux frères ou sœurs de cet enfant en cas de nécessité thérapeutique avérée et dûment justifiée lors du prélèvement. »
2° Le dernier alinéa de l'article L. 1243-2 est ainsi rédigé :
« Seules peuvent être préparées, conservées, distribuées ou cédées les cellules du sang de cordon et du sang placentaire ainsi que les cellules du cordon et du placenta prélevées dans les conditions mentionnées au dernier alinéa de l'article L. 1241-1. Chacun de ces établissements consacre une part de son stockage au don dédié mentionné à ce même dernier alinéa. » ;
3° Au premier alinéa de l'article L. 1245-2, les mots : « ainsi que le placenta » sont remplacés par les mots : « à l'exception des cellules du sang de cordon et du sang placentaire ainsi que des cellules du cordon et du placenta, ».


Et pour  être encore plus clair

Donc, mesdames, on n’a plus le droit de refuser de vous donner un morceau de votre placenta après votre accouchement, car il est enfin reconnu vous appartenir de plein droit. Faites-le savoir haut et fort ! Et mettez l’article 18 de 2011 ci-dessus sous le nez de ceux qui continuent à vous interdire d'en profiter.

Sinon, que faire en cas de blocage

Il restera malgré tout des personnes qui resteront sourdes à tous vos arguments, aussi fondés soient-ils. Alors que faire ?


 

  • Première solution : changer de clinique.
  • Deuxième solution : Organiser un accouchement à la maison avec une sage –femme. Cela se fait beaucoup dans les pays nordiques et l’ambiance est beaucoup plus sympa que dans ces usines à accoucher où les médecins sont à l’affût des occasions pour effectuer des césariennes justifiées ou pas (mais plus rentables…) – En cas de gros problème, on appelle le SAMU de la maison plutôt que de la clinique, c’est tout.
  • Troisième solution : aller accoucher en dehors des frontières dans des pays moins corrompus


Tout cela se prépare d’avance – il faut savoir ce qu’on veut : on se soumet ou on résiste !
 

Michel Dogna

PS : Pour tout savoir sur l’élaboration et les applications étonnantes du placenta :
lisez l'ouvrage de Michel Dogna « Prenez en main votre santé tome 2 » – Ed. Guy Trédaniel
Ou « Homéopathie courante par vous-même » - Ed Guy Trédaniel

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14 juin 2016 2 14 /06 /juin /2016 18:47
Cannabis à l'adolescence : anomalies cérébrales et capacités de mémoire réduites.

 

La consommation quotidienne de cannabis à l'adolescence est liée à des anomalies dans la forme de l'hippocampe du cerveau et des résultats inférieurs à des tests de mémoire au début de l'âge adulte, montre une étude publiée dans la revue Hippocampus.

L'hippocampe est important pour la mémoire épisodique(ou mémoire autobiographique) qui est la mémoire à long terme des événements de la vie.

Matthew J. Smith et John Csernansky de l'Université Northwestern ont, avec leurs collègues, mené cette étude avec 97 adultes au début de la vingtaine qui avaient commencé à consommer du cannabis à 16 ou 17 ans, avaient consommé quotidiennement pendant environ 3 ans et avaient cessé depuis environ 2 ans. Ils n'avaient pas consommé d'autres drogues que le cannabis.

Les participants se divisaient en 4 groupes : des adultes en santé ayant consommé du cannabis; un groupe de comparaison n'ayant jamais consommé de cannabis; un groupe de schizophrènes ayant consommé du cannabis; et un groupe de schizophrènes n'ayant jamais consommé de cannabis.

Le test de mémoire consistait à écouter une série d'histoires pendant environ 1 minute et à se rappeler autant de contenu possible 20 à 30 minutes plus tard. Le test évaluait les capacités d'encoder, d'emmagasiner et de se rappeler des détails.

Les participants en santé qui avaient consommé du cannabis avaient des résultats réduit de 18% au test de mémoire comparativement aux participants en santé n'en ayant jamais consommé. Plus ils avaient consommé longtemps, plus la forme de l'hippocampe était anormale. Les schizophrènes qui avaient consommé du cannabis avaient des capacités de mémoire réduites de 26% comparativement aux schizophrènes n'en ayant jamais consommé.

Des recherches précédentes de la même équipe ont aussi montré des performances réduites en ce qui concerne la mémoire à court terme et la mémoire de travail ainsi que des formes anormales de structures cérébrales dans le sous-cortex dont le striatum, le pallidum et le thalamus.

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8 mars 2016 2 08 /03 /mars /2016 23:40

enlever les pesticides

On trouve des pesticides partout. Une récente enquête menée par le département américain de l’agriculture a révélé que 65% des échantillons de produits testés contenaient des résidus de pesticides. Les pesticides peuvent réduire les disponibilités intellectuelles des esprits en développement.

 

Source 1 

Source 2 

Source 3

Source 4

 

 

Même si votre produit paraît frais, propre et sain, il peut encore contenir la plupart des pesticides toxiques servant à protéger la croissance des plantes. C’est pourquoi j’ai toujours recommandé d’acheter des alternatives biologiques pour tous vos aliments.

enlever les pesticides

Comment enlever les pesticides de vos produits:


 

Les nectarines sont particulièrement inquiétantes car 99% des échantillons contenaient au moins un résidu de pesticide.Les principaux produits contenant des résidus de pesticides sont vos pommes de terre, vos fraises, vos pommes, le raisin, vois pois mange-tout, le céleri, vos épinards, vos poivrons, vos tomates cerises et vos nectarines.


Sur une note positive, il y a aussi des fruits et des légumes qui contiennent peu de résidus de pesticides. C’est l’avocat qui se classe en tête de liste avec 1% des échantillons qui contenaient des traces de pesticides, ce qui prouve encore une fois que les avocats sont incroyables pour la santé.


Les produits les plus propres que vous pouvez trouver sont les kiwis, les aubergines, les oignons, le maïs sucré, les ananas, l’igname, les mangues, le chou et la papaye. Vous pouvez en profiter relativement facilement.


Mais si vous avez envie d’une pomme Fuji juteuse, que pouvez-vous faire ?


La plupart des supermarchés proposent des produits pour nettoyer vos légumes. Cependant, vous pouvez toujours faire votre propre produit pour nettoyer les légumes. C’est très facile à faire, et il n’y a besoin que d’un seul ingrédient : le vinaigre blanc.

 

 

 

La recette pour nettoyer les légumes est simple : 

 

90% d’eau et 10% de vinaigre blanc. Faites ce mélange dans votre évier ou dans une grosse bassine pour que vos fruits et légumes puissent tremper correctement.

 

Il suffit de les laisser tremper pendant environ vingt minutes, puis de les rincer à l’eau froide.

Si vous avez des fruits fragiles comme des myrtilles, je vous recommande de ne pas les laisser vingt minutes. Les myrtilles ont une peau poreuse et le mélange au vinaigre peut masquer leur goût naturel.

 

Si vous trouvez qu’il reste une odeur de vinaigre sur vos fruits et légumes, vous pouvez toujours utiliser de l’eau avec du citron pour vous débarrasser de l’odeur.

 

Quand vous aurez terminé, vous remarquerez un résidu étrange au fond de votre eau. Comme vous l’aurez deviné, ce sont des résidus de pesticides qui étaient cachés dans vos fruits et légumes.

 

Si vous ne supportez pas l’odeur du vinaigre, ne vous inquiétez pas il existe une autre alternative. Selon le centre pour la science et l’environnement, vous pouvez également utiliser de l’eau salée à 2% pour éliminer les pesticides de vos produits.

 

En utilisant ces méthodes, vous pouvez réduire les résidus de pesticides de 70%. Il restera toujours des résidus cachés dans les plis qui sont difficiles à laver à la main.

 

Prendre votre temps pour préparer et nettoyer votre nourriture a d ‘énormes avantages pour votre santé et celle de votre famille. Chaque étape, que ce soit l’intégration des produits biologiques ou l’élimination des pesticides, vous amène progressivement vers la réalisation de l’alimentation nécessaire pour rester en pleine forme.

 

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26 février 2016 5 26 /02 /février /2016 09:37

Bonjour à tous,

Voici l'adresse d'un site très intéressant :

http://psychologie-sante.blogspot.fr/

http://psychologie-sante.blogspot.fr/2014/02/manifestations-des-troubles-dys.html

Manifestations des troubles Dys, dyslexie dyscalculie, dyspraxie, dysgraphie

les tableaux décrivent les troubles vécus par les enfants concernés cependant, ne vous alarmez pas, un enfant dyspraxique, par exemple, ne se reconnaitra pas dans tous les cas de figure.

En savoir plus sur les DYS
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17 novembre 2015 2 17 /11 /novembre /2015 16:05

Concernant les soutiens à apporter auprès des enfants,

nous vous invitons à consulter :

 

- l’interview qu’a accordée Agnès Florin au Café pédagogique

« Que faire lundi matin ?

 

- l’intervention de Serge Tisseron sur le site Koreus

« Faut-il parler des attentats à vos enfants ?

 

- l'interview de Hélène Romano du 12 janvier 2015 sur Europe 1

« Attentats : comment gérer le jour d'après ? »

 

ces infos ont été diffusées par : la FFPP Fédération Francaise des Psychologues et de Psychologie

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8 septembre 2014 1 08 /09 /septembre /2014 08:06

 

 

La phagothérapie : quand les virus guérissent

À l’occasion du congrès des médecines douces, organisé par l’APSAMED les 28 et 29 juin derniers à Marseille, l’IPSN est allé à la découverte d’une science étonnante et pourtant très ancienne, capable de détrôner les antibiotiques et de redonner espoir à de nombreux malades, dont ceux touchés par Lyme ! Alain Dublanchet, expert mondialement reconnu, nous introduit dans les arcanes de ce fascinant sujet.

Des virus pour combattre des bactéries
Pratique pourtant ancienne, abandonnée par la science moderne, l’utilisation des phages était une thérapie très efficace avant que n’apparaissent les antibiotiques. Que sont-ils ?

Les phages sont des virus naturels capables de détruire les bactéries (chaque virus a une action sur une bactérie spécifique). Découverts tout d’abord par Frederick W. Twort à Londres en 1915, observés de nouveau par Félix d’Hérelle en 1917 puis isolés par ce dernier, ces virus « mangeurs » de bactéries révèlent dès cette époque leurs premières applications thérapeutiques dans le traitement d’infections diverses et connaissent leurs premiers succès au tout début des années 1920.

La phagothérapie est l’utilisation de ces virus appelés aussi bactériophages pour traiter des infections bactériennes. En effet, les phages ont la particularité d’infecter les bactéries qu’ils ciblent de façon spécifique, et même de les détruire sans endommager les cellules humaines, animales ou végétales.

Alain Dublanchet, médecin biologiste français, spécialiste de la phagothérapie, mène depuis une dizaine d’années ses recherches avec différents instituts, notamment l’Institut Pasteur. Rencontré au cours du congrès des médecines douces, nous redécouvrons grâce à lui ce que la médecine a oublié : un remède fiable et sans danger. Actuellement, la médecine recense environ 6000 phages, chacun associé à une seule bactérie. Les phages sont donc un mode de thérapie bien connu, mais en France, personne n'en parle !

Mais d’autres pays, comme la Russie ou la Géorgie où le Dr Dublanchet a mené la majeure partie de ses recherches, utilisent encore les phages. Là-bas, on les trouve même aussi couramment en pharmacie que nos chers antibiotiques.

Antibiotiques : quand les soins tuent
Si les antibiotiques ont représenté jusqu’ici une solution inégalable pour traiter toutes sortes d’infections plus ou moins graves, la médecine actuelle se trouve confrontée à un problème effrayant : les bactéries sont de plus en plus résistantes à ces traitements, plongeant ainsi le corps médical dans une impasse thérapeutique.

Comme nous l’explique Alain Dublanchet dans son livre « Des virus pour combattre les infections », cette résistance aux antibiotiques fut pourtant constatée dès la mise sur le marché de la pénicilline. Par la suite, les échecs répétés de ces thérapies n’ont pas été remis en question par la science moderne qui s’est obstinée à rechercher de nouvelles molécules avec une confiance aveugle en l’efficacité des antibiotiques. La machine infernale est donc lancée, donnant naissance à de redoutables effets rebond supplémentaires. L’ironie du sort veut que nous assistions peu à peu à l’apparition d’infections à bactéries multirésistantes directement liées aux soins ! Les fameuses infections nosocomiales.

Il s’agit d’infections consécutives à des soins reçus en milieu hospitalier, apparaissant généralement 48 heures après l’admission du patient. Du fait de la vulnérabilité propre aux malades, l’exposition à des bactéries résistantes représente un grand risque, pouvant provoquer des infections difficiles, voire impossibles à traiter. Depuis quelques années, elles représentent non seulement une cause de plus en plus importante de décès, mais, surtout, la proportion d’infections dues à des bactéries résistantes croît de façon inquiétante.

Il devient donc urgent aujourd’hui de s’orienter vers d’autres moyens thérapeutiques. Pour cela, la thérapie par l’utilisation des phages représente un espoir solide dans le traitement des infections les plus difficiles à combattre. Sans doute pourra-t-on envisager des traitements couplés comprenant des antibiotiques à l'action globale et des phages à l'action ciblée.
La science de demain vient du passé
À partir des années 1930, les phages ont sombré dans l’oubli au profit des antibiotiques. Ainsi, cela faisait près de trente ans qu’il n’existait plus aucune publication en France traitant de la phagothérapie, ni même d’application thérapeutique.

En Russie cependant, cette pratique a été conservée, si bien que les phages sont utilisés jusque dans l’espace, pour soigner les astronautes. Ce qui d’ailleurs intéresse de plus en plus les armées françaises et américaines.

En effet, lorsqu’on tourne les yeux vers les pays de l’Est, on découvre une avancée incroyable dans le traitement des infections les plus graves, ainsi qu’une véritable recherche scientifique dédiée à cette pratique délaissée des phages. C’est à Tbilissi, en Géorgie, que se trouve le Phage Therapy Center qui propose également un programme de traitement contre les infections réfractaires aux thérapies classiques. Les témoignages de guérisons inespérées sont aussi nombreux qu’étonnants ! Et les études menées sur des patients dont l’état de santé était dramatique relate que ces personnes, condamnées à une mort certaine, ont ainsi été traitées par des phages, et toutes ont été sauvées par ces derniers.

L'avantage clé de la phagothérapie est qu'elle fonctionne sur des souches bactériennes résistantes aux antibiotiques sans les rendre de plus en plus récalcitrantes au fil du temps. Tout simplement car le phage répond à un processus naturel permettant un équilibrage des bactéries. En effet, à l’inverse des antibiotiques qui, à cause de leur spectre trop général, ont la réputation de détruire la flore intestinale (nos bactéries internes), les phages ont l’avantage de cibler précisément une seule bactérie tout en évoluant, en s’adaptant de façon coordonnée avec cette dernière, faisant face ainsi à ses possibles résistances. De ce fait, les bactériophages constituent une piste sérieuse dans la découverte de traitements fiables contre les infections bactériennes résistantes aux antibiotiques.

Mais pour que ce traitement d'avenir soit effectif, il faudra l'accord de nos autorités de santé. Or les phages étant des virus, ils n'entrent pour l'instant pas dans le cadre de la législation européenne. Cela promet malheureusement du retard, préjudiciable aux patients.

La maladie de Lyme trouve un sérieux adversaire

Les phages sont remarquables dans le traitement d’une pathologie difficile à soigner et pourtant de plus en plus répandue : la maladie de Lyme.

La Borrelia responsable de cette maladie se soigne par antibiotiques, mais les traitements sont lourds et ne l’éliminent pas toujours. De plus, faisant partie des bactéries les plus rapides et les plus mobiles que l’on connaisse, on la sait capable de se loger dans tous les tissus du corps humain, se rendant comme invisible et, de ce fait, inatteignable par les antibiotiques. En effet, pendant toute la durée du traitement, elle peut se localiser sous forme de kyste spongieux, attirant les globules blancs qui finissent par s’agglutiner et ainsi la dissimuler. La bactérie s’en sort saine et sauve en laissant des lésions créées par l’amas de globules blancs.

Et c’est là qu’entrent en scène nos fameux bactériophages. S’ils ne peuvent pas véritablement tuer Borrelia, ils permettent en revanche de grandement la fragiliser. En la délogeant, le phage aide à exposer la bactérie à l’action des antibiotiques qui peuvent ensuite la détruire.

Cette application remarquable amorce l’avenir possible de l’utilisation des phages : en association avec d’autres traitements, ils garantissent de bien meilleures chances de guérison.

Pour aller plus loin 
Ce sujet représente de nouvelles perspectives pour la prise en charge des infections les plus résistantes, tout en apportant un réel espoir tant pour les individus que pour le corps médical. Aussi, il ne serait pas étonnant que la phagothérapie retrouve ses lettres de noblesse dans les prochaines décennies, apportant des réponses là où il n’y a plus aujourd’hui de solutions.

Si vous désirez approfondir la question, quelques pistes :
Livre :

  • « Des virus pour combattre les infections », du Dr Alain Dublanchet, paru aux éditions Favre

Documentaires :

  • « La guerre des phages » 2005

  • « Virus contre bactérie » 2012
  • Institut pour la Protection de la Santé Naturelle – Rue du Vieux Marché Au Grain, 48 – 1000 Bruxelles

    www.ipsn.eu

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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 01:10

 

 

 

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3 avril 2014 4 03 /04 /avril /2014 11:42

 

 

 

 
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Un groupe de naturopathes professionnels dont je fait partie a réuni ses meilleures recettes santé.
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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 21:37
Voici un communiqué du président de l'Asso. Amavie :
Bonjour,
 
L’association Amavie œuvre pour la reconnaissance des Médecines Naturelles auprès des Mutuelles et Compagnies d’assurances et auprès des instances dirigeantes.
Nous avons convaincu un assureur afin de proposer une Responsabilité civile professionnelle à nos adhérents aux meilleurs tarifs en France :
Sur le site www.amavie.fr , en cliquant dans la colonne de droite sur « Praticiens de spécialités naturelles », vous aurez les tarifs par famille d’activités. En cliquant sur « Contrats proposés » et sur la famille choisie, vous pourrez lire le contrat.
 
La souscription est réservée aux adhérents de l’association Amavie www.amavie.org , « Devenez adhérent », puis « Praticiens de santé » et suivre scrupuleusement les indications.
 
Pour connaître nos actions, notre sensibilité, notre politique, vous pouvez retrouver nos Lettres d'infos sur www.amavie.info et en cliquant sur le logo représentant un fou derrière la Terre.
 
Merci de votre intérêt pour notre action.
N’hésitez pas à nous contacter par mail ou par téléphone.
Cordialement.
Nicolas Lemoine

Président Association Amavie
15 rue du salin
26150 - Die
Tél fixe : 04 75 21 96 90
Mobile  : 06 98 24 21 10
Email : Nicolas Lemoine 


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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 07:51

 

 

 

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Présentation

  • : les enfants de la nouvelle terre
  • : Ce congrès consacré aux jeunes et à leur planète se veut positif. Il y sera démontré que seuls une prise de conscience générale et une volonté d'intégrer de nouveaux concepts (autant dans le domaine de la santé que dans celui de l'agriculture) feront basculer l'avenir de l'Homme et sa planète. La santé globale des jeunes préoccupe : Asthme, allergies à de nombreuses substances, diabète, surpoids. Pourquoi autant d'autistes ...
  • Contact

et si c'était autre chose

 

proverbe africain

Quand un enfant nait différent, c'est qu'il a quelque chose de différent à faire

Dr Françoise Berthoud

Que nous soyons
thérapeutes, enseignants
ou simples observateurs de la société,
nous savons
que les troubles du comportement de l'enfant
sont un défi dans beaucoup de familles.
 
Quant à l'autisme,
il s'agit d'une véritable révolution
dans la compréhension de son origine
et de sa fréquence.
 
Dr Françoise Berthoud

Texte Libre

Nouvelle Terre

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