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26 février 2016 5 26 /02 /février /2016 09:07
Milan, la ville forêt verticale

bonjour à tous,

Je me souviens qu'à Milan, la pollution était telle que les autorités avaient trouvé judicieux d'autoriser la circulation des autos dont le nombre de la plaque était pair, certains jours, et impairs d'autres jours. Bien entendu, les italiens s'étaient accomodés tant bien que mal à cette règlementation.

Mais voici qu'une équipe novatrice et un architecte en décident autrement afin de venir à bout du "fog" .

Stefano Boeri, l'architecte signataire du projet, a prévu de planter l'équivalent d'un hectare de forêt sur les balcons des deux tours de 80 et 112 mètres de haut, bâties en plein centre-ville.

Mais, je rends à César ce qui appartient à César, les infos suivantes proviennent du site : http://www.lefigaro.fr/jardin/2014/11/20/30008-20141120ARTFIG00082--milan-un-hectare-de-foret-plante-sur-deux-tours.php

Magda

 

Pouvoir anti-polluant

Presque 900 arbres, mais aussi des milliers d'arbustes et de petites plantes ont été cultivés dans des pépinières avant d'être hissés par une grue avec leur motte de terre jusqu'à leur balcon de destination. Parmi eux, des chênes verts, des noisetiers de Turquie, des hêtres, des frênes et des oliviers, mais aussi des pruniers, cerisiers et pommiers qui ont eu une floraison féerique au printemps. Les essences ont été sélectionnées suivant plusieurs critères, comme l'absence d'allergènes, d'épines, la résistance au vent, aux parasites, le maintien de leur forme après élagage, ou encore leur pouvoir anti-polluant par la fixation des micro-poussières présentes dans l'air.

 

Papillons, coccinelles et chauves-souris

Pour lutter contre les parasites, les pucerons notamment, plus de 1.200 coccinelles (Adalia bipunctata) ont été relâchées sur les tours au mois de mai, ainsi que des papillons. Le projet prévoit aussi des nids et mangeoires pour chauves-souris. L'interaction entre les habitants des appartements et leur arbres est drastiquement réduite, les plantes étant gérées par la copropriété.

 

Milan, la ville forêt verticale
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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 10:48

 

Bonjour à tous,

J'ai le plaisir de vous annoncer la nouvelle conférence de Christophe CHENEBAUD

"INNOVER POUR CHANGER LE MONDE" 
Forum 104 à Paris jeudi 9 octobre de 20h à 22h

Il aura l'occasion d'aborder les clefs du changement individuel, l'implication positive, le changement sociétal, les pionniers du nouveau monde, et aussi son parcours et ses actions personnelles.
"Un nouveau monde est en marche. Des initiatives positives émergent sur les cinq continents : des petites révolutions locales qui répondent à la plupart des maux de la planète. Ces bâtisseurs de l’avenir sont à l’origine de solutions innovantes pouvant être démultipliées à une vaste échelle, ainsi que de changements sociétaux profonds. « Nous ne résoudrons pas les problèmes avec les modes de pensées qui les ont engendrés » disait Einstein. Que ceux-ci inspirent positivement nos changements individuels et nous montrent la voie pour nous impliquer chaque jour davantage dans la création d’un monde meilleur. "
Plus d'informations sur :
Cher amis parisiens, n'hésitez-pas à diffuser cette information.
Christophe Chenebault
Fondateur du média culturel EVENE, plus sur www.evene.fr
Auteur du livre IMPLIQUEZ-VOUS !, plus sur www.impliquez-vous.com
Co-initiateur du PRINTEMPS DE L'EDUCATION, plus sur www.printemps-education.org
Co-fondateur des RENCONTRES CHANGER LE MONDE

Et initiateur du projet-livre RIEN N'EST ETERNEL SAUF LES ETINCELLES en soutien aux Indiens Kogis

www.etincelles.lelivre.org
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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 19:43

Bonjour à tous,

je vous propose de regarder le taiser du film DEMAIN - c'est franchement exaltant !

 

 

 

 

 

 

http://www.kisskissbankbank.com/demain-le-film

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28 février 2014 5 28 /02 /février /2014 22:30

UN ADO COMPTE EXTRAIRE

7 MILLIONS DE TONNES DE PLASTIQUE DES OCEANS

 

 

 

 

A seulement 19 ans, Boyan Slat est l'un des inventeurs d'une plateforme qui serait capable de nettoyer près 99,9% des déchets qui encombrent les eaux internationales. Un projet original, parce qu'il n'utilise pas de filets.


Objet flottant non identifié, le navire de Boyan Slat est flanqué de longs bras montés sur des bouées, faisant face à l'immensité.

 

Ce système ne comporte aucun filet, ce qui permettrait de nettoyer les océans non pas en 79 000 ans (comme le prédisaient certains scientifiques) mais en seulement 5 ans ! Une différence qui a de quoi réjouir les militants écologistes les plus désabusés.


Les déchets ne seront pas "attrapés" dans des filets, mais déviés par de gigantesques structures. L'absence de filets s'avère aussi particulièrement respectueuse de la flore locale puisque les déchets seront déplacés sans emprisonner les poissons et autres animaux marins.


C'est par la force des courants marins que le plastique sera dirigé vers la plateforme de nettoyage, elle-même auto-alimentée grâce au soleil et aux vagues.


Durable et rentable

Le génie du projet tient aussi au fait que les débris ainsi récupérés permettraient de générer plus d'argent qu'il n'en faut pour construire la plateforme. L'affaire serait même rentable.

Une étude de faisabilité est en cours : le projet de Boyan Slat et de son équipe d'ingénieurs a déjà traversé un quart du processus.


En attendant, le jeune auteur néerlandais a présenté son projet à la conférence TEDxDelft 2012 :

 


 

 

 

Il estime tout simplement que, "oui, c'est sans doute une des plus grandes opérations de sauvetage environnemental jamais réalisée.

 

Mais nous avons créé ce désastre. Nous avons même inventé ce nouveau matériau (le plastique) avant de créer ce désastre ! Alors, s'il vous plaît, ne me répondez pas que nous ne pouvons pas, ensemble, le nettoyer".


 

A. Degand

 

source

 

 

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26 décembre 2013 4 26 /12 /décembre /2013 20:54

  Bonjour à tous,

 

Pas mal vu !

Je sens que je vais faire des progrès ...

ET vous ?

 

 

J'arrête de râler sur mes enfants (et mon conjoint)

 

 

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 23:45

Un média très intéressant à consulter :

BASTA NET !

www.bastamag.net

 

Révolution « open source »

 

 

par  Agnès Rousseaux 12 novembre 2013

 

Ils fabriquent des machines libres de droits, sans brevet. Des engins à construire soi-même, sorte de meccano géant, écologique et à moindre coût. Pour bâtir des maisons, produire de l’énergie, faire cuire des aliments, extraire des matériaux ou cultiver la terre. De quoi construire un village. Ou une civilisation. Leur objectif : éditer plans et modes d’emploi, construire des prototypes, expérimenter, partager et diffuser à tous, pour faire vivre cette révolution industrielle d’un nouveau genre. Des États-Unis à l’Isère, bienvenue dans l’univers des pionniers de « l’écologie open source ».

Et si on créait une civilisation en « open source » ? Un monde sans brevets. Des objets, des appareils, des machines, reproductibles à l’infini par tous ceux qui le souhaitent, grâce à la diffusion « libre » de leurs plans. C’est ce que propose Marcin Jakubowski : ce jeune diplômé de physique nucléaire, habitant du Missouri (États-Unis), devenu agriculteur-bricoleur, cherche à constituer et diffuser un kit de 50 machines industrielles – tracteur, bulldozer, moissonneuse-batteuse, four, éolienne, moteur hydraulique, bétonnière ou machine à compacter des briques de terre – pour bâtir, en toute autonomie, l’infrastructure d’un village. Ou les bases d’une civilisation !

 

Le principe est simple : il s’agit de fabriquer artisanalement des machines industrielles, à très bas coût (en moyenne 8 fois moins que celles fabriquées industriellement), et d’expliquer à ceux qui le souhaitent comment les reproduire eux-mêmes. Un guide de construction, le « Global Village Construction Set » offre le mode d’emploi de ces innovations. Sur une ferme de 12 hectares dans le Missouri, Marcin Jakubowski et son équipe travaillent à la construction de prototypes, et sur la documentation pour diffuser ces innovations. Avec un mode de fabrication assisté par ordinateur et des imprimantes 3D, « les produits peuvent être conçus comme des Legos », explique Marcin Jakubowski. L’objectif est de penser des outils modulables et adaptables, les plus simples possibles pour pouvoir être reproduits facilement. Une sorte de meccano à taille humaine, permettant de construire des maisons (grâce aux machines fabriquant des briques de terre), de créer un système économique et agricole diversifié, des machines pour répondre aux besoins de base, et même offrir tout le confort moderne possible.

Recensement et adaptation des outils, réalisation et diffusion des plans

La démarche s’inscrit dans le courant de l’Open source ecology. Une utopie et des pratiques que veut faire vivre l’association Adabio autoconstruction, en Rhône-Alpes. En se basant cette fois davantage sur les savoir-faire issus d’un métier, celui d’agriculteur, que sur la co-construction d’outils ex nihilo par des ingénieurs et bricoleurs. Objectif de ce projet : la création d’outils agricoles, à construire soi-même, à partir de plans libres de droits. L’idée est née du constat que des agriculteurs font de nombreuses trouvailles en bricolant, en adaptant des outils pour leur travail quotidien, de manière intuitive. L’association s’est donc donnée pour mission de recenser ces inventions, d’en tracer les plans et de les diffuser. En 2009-2010, une quinzaine d’outils sont répertoriés : outils de planches permanentes pour décompacter la terre dans la culture de légumes bio, cadre de vélo utilisé pour désherber, dispositif de traction animale, poulaillers mobiles... Une seule exigence : que ces outils soient reproductibles. Et qu’on puisse les construire avec peu de matériel.

Le projet est porté par des maraichers bio et des techniciens d’ADABio Autoconstruction (association des producteurs biologiques). « On part d’une recherche empirique, qui valorise le savoir-faire des paysans, explique Julien Reynier, chargé de développement de l’association. On va à l’inverse du modèle des chambres d’agriculture qui veulent diffuser des savoirs dans une démarche descendante ». L’enjeu est de mutualiser et co-produire des outils, pour renforcer l’autonomie des exploitations agricoles. « Car l’agriculture bio, ce n’est pas celle de nos grands-pères, c’est au contraire quelque chose de très technique », poursuit Julien Reynier. Il faut notamment réussir à s’affranchir des intrants chimiques, engrais, pesticides.

Créer des farm-labs, ateliers ouverts et coopératifs

Après le recensement, vient l’étape de la « recherche et développement » par les salariés d’Adabio Autoconstruction [1]. Du « toilettage », pour rendre diffusables les outils bricolés sur le terrain. Ces outils créés sont souvent le fruit de la récup’, il faut donc voir comment les fabriquer avec un matériel accessible à tous, notamment des barres de métal « standard ». A partir de là est rédigé un guide avec les recettes de construction, les côtes, références, plans 3D, plans éclatés... « Comme les modes d’emploi d’Ikea ! », sourit Julien Reynier. 600 exemplaires de ce guide sont vendus. Une centaine de paysans participent à des formations, pour apprendre à construire ces outils « open source ».

Pour les agriculteurs, le jeu en vaut la chandelle. Avec ce système, les outils de planches permanentes, utilisés pour éviter le compactage de la terre, coûtent environ 2000 euros en matière première, plus une semaine de travail. Dans le commerce, c’est trois fois plus cher. Les commandes groupées de barres de métal de 6 mètres permettent aussi de réduire les coûts. Reste à trouver un lieu pour que chacun puisse venir créer ses outils. « Pour les formations, on loue des ateliers dans des lycées agricoles, on vient avec notre camion plein de matériel pédagogique », explique le chargé de développement. L’association s’est installée dans une ancienne papeterie près de Grenoble et recherche des financements pour y aménager 600 m2 d’ateliers. « Dans l’idéal, il faudrait des ateliers communaux, où chacun peut venir travailler le métal. Des farmlabs, sur le modèle des fablabs qui se développent en ville surtout ».

Une manufacture open source

Les outils créés, les plans et modes d’emploi, sont sous licence Creative Commons By-NC (pas d’utilisation commerciale), pour éviter une « récupération » par le secteur marchand. « Mais le débat est ouvert, précise Julien Reynier. Avons-nous quelque chose à craindre ? Nous souhaitons une diffusion large des pratiques d’auto-construction » [2]. L’association est en lien avec le réseau états-unien FarmHack, qui développe, documente et construit des outils pour une « agriculture résiliente ». Au sein de ce collectif, agriculteurs, ingénieurs, architectes ou designers s’allient pour créer des outils libres de droits, dont les modes d’emplois sont répertoriés dans un annuaire sur le site web. Il est possible de prendre conseil ou de suivre les tests effectués avec les prototypes, via un forum (voir la présentation vidéo ci-dessous).

Ce type de projet essaime, notamment aux États-Unis. Près de Denver, d’anciens associés de Marcin Jakubowski ont créé Open Tech Forever, sur un site agricole en permaculture. Leur objectif est de créer une « fabrique open source », sorte de manufacture pour ceux qui veulent créer des outils. Ce qui les anime ? Relocaliser la production. Car c’est « l’une des étapes les plus importantes pour préparer aux effets déstabilisateurs du changement climatique, et pour rendre les communautés locales capables de construire des systèmes économiques résilients et autonomes », expliquent les fondateurs.

Appropriation technologique et révolution du travail

En développant la capacité des communautés locales à créer des machines avec lesquelles il sera possible de fabriquer des produits, la démarche favorise également le recyclage. « Pour le moment, nous achetons les matériaux en magasin. Mais dans le kit de construction, il y a un four à induction et les procédures de roulage à chaud du métal. Donc vous pouvez prendre de l’acier de récupération, le fondre et en sortir de l’acier neuf, explique Marcin Jakubowski. Ce qui fait que chaque décharge de métal est par essence un endroit où l’on peut reconstruire une civilisation. »

Ces démarches s’inscrivent dans l’histoire du « mouvement des technologies appropriées », né dans les années 1960, lié à la contre-culture américaine, et conceptualisé par l’économiste britannique Ernst Friedrich Schumacher [3]. Ce mouvement revendique une technologie soucieuse de l’environnement, mieux adaptée aux ressources locales, moins coûteuse. Et surtout facilitant l’appropriation : les outils créés, quel que soit leur degré de complexité, devraient pouvoir être compris, contrôlés et entretenus facilement par les populations locales. Une technologie issue de la demande sociale, en quelque sorte, que l’usager peut contribuer à améliorer, et qui permet aux communautés, notamment dans les pays les moins développés économiquement, d’accroître leur autonomie. Dans cette tradition vient aussi s’inscrire le mouvement de l’open source hardware (« matériel open source »), parallèle du mouvement des logiciels libres (« software ») en ce qui concerne les matériaux « en dur ». Comme avec les logiciels, la conception de l’objet, ses plans, son mode d’emploi sont libres, pour que chaque utilisateur puisse étudier, modifier, diffuser, fabriquer, et vendre la conception de cet objet ou le matériel basé sur cette conception.

Derrière ces nouvelles façons de produire et d’échanger, se dessine aussi pour les promoteurs de l’Open source ecology une révolution du travail et des sociétés. « Pour le moment, nous commençons avec des infrastructures simples. Viendra ensuite l’éducation, la santé, un système financier, une gouvernance. Le matériel médical sera probablement le plus dur à obtenir, s’enthousiasme Marcin Jakubowski. Notre but est de montrer qu’avec 12 hectares et 30 personnes, on peut créer ou recréer un standard de vie moderne saine, jusqu’à avoir des semi-conducteurs (utilisés pour les transistors et micro-processeurs) et du métal, le tout à partir des ressources du site. » Et qu’il est possible de créer une société relativement abondante, avec les bases du confort moderne, dans laquelle les gens travailleraient moins de deux heures par jour... Utopie ? Quoi qu’il en soit, la révolution de l’open source ecology est en marche.

Agnès Rousseaux

(@AgnesRousseaux)

Pour aller plus loin :
- Adabio autoconstruction, la coopérative des savoirs paysans (Rhône-Alpes)
- Farmhack (Denver, États-Unis)
- Open source ecology, le site de Marcin Jakubowski, et le Global Village Construction Set (Missouri, États-Unis). A lire sur Framablog, une interview de Marcin Jakubowski à propos du projet Open source ecology / Factor e Farm.
- Projet OS, OpenStructures (États-Unis).

- Présentation du projet Open source ecology de Marcin Jakubowski (en anglais) :


- Présentation du réseau Farmhack (en anglais) :


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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 07:42

 

CECI EST UN PROJET DE LOI : ATTENDONS LES RESULTATS

 

Yourtes et tipis reconnus par la loi comme habitats permanents(27/06/13)

Yourtes et tipis reconnus par la loi comme habitats permanents

Le nouveau projet de loi Alur de Cécile Duflot fait entrer l'habitat léger dans les règles d'urbanisme. Le développement et la diversification des alternatives au logement classique : yourte, tipi, roulotte, mobile home, caravane, etc. rendent aujourd'hui nécessaire de revoir la réglementation. L'installation de ces formes d'habitat mobile ou léger peut poser question du fait d'un cadre juridique inadapté. Par exemple, aujourd'hui, il n'existe pas de réglementation concernant les yourtes. Ce vide juridique a conduit à une «judiciarisation» des relations entre porteurs de projets et collectivités locales, dont il faut sortir par le haut.

Le projet de loi présente des dispositions qui vont permettre de :
- reconnaître que les dispositions d'urbanisme ont vocation à prendre en compte l'ensemble des modes d'habitat installés de façon permanente sur le territoire ;
- sortir de l'instabilité juridique, l'habitat léger considéré comme lieu d'habitation permanent devant entrer dans le droit commun.
Pour sortir du dilemme juridique sur le besoin ou non d'un permis de construire, le Gouvernement va autoriser les documents d'urbanisme à définir les terrains où les résidences mobiles ou démontables, constituant l'habitat permanent de leurs utilisateurs, pourront être
installées. Il suffira de soumettre ces terrains à un régime de déclaration préalable ou de permis d'aménager.
Si les résidences mobiles ont un statut connu, les résidences démontables, de formes diverses, devront répondre à un cahier des charges démontrant :
- la réversibilité de l'habitat : l'habitat est démontable, son installation est effectuée sans intervention d'engins lourds et aucun élément le composant, ou composant son aménagement intérieur, n'est inamovible ;
- l'autonomie vis-à-vis des réseaux d'eau, d'électricité et d'assainissements collectifs, pour ne pas impacter les budgets des collectivités locales via la création de nouveaux réseaux ; la sécurité : l'usager de l'habitat devra veiller à la propreté, à la salubrité et à l'entretien des lieux pour éviter les incendies.
Dans le volet du projet de loi relatif à l'urbanisme, plusieurs dispositions prévoient donc que les résidences mobiles ou démontables, qui constituent l'habitat permanent de leur utilisateur (par opposition à une utilisation touristique), pourront être autorisées en zones urbaines mais aussi dans les « pastilles », ces secteurs de taille et de capacité d'accueil limitées, prévus par le règlement des plans locaux d'urbanisme (PLU) dans les zones agricoles ou naturelles, qui sont normalement non constructibles.

 

Souce :

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27 août 2012 1 27 /08 /août /2012 15:12

Bonjour à tous,

Si vous avez du temps libre les 31 Août 1er et 2 septembre, n'hésiter pas à aller aux ENTRETIENS DE SOLOGNE  Anciennement : Entretiens de Millancay - Cette année est un excellent cru !

je vous transmets l'éditorial de Philippe DESBROSSES qui était présent lors du Congrès Pédagogique de Honfleur : Les Enfants de la Nouvelle Terre en 2009 (mon Dieu, comme le temps passe...)

Cordialement,

Magda

Affiche-5-Entretiens-Sologne-web.jpg

L’ Éditorial de Philippe Desbrosses :

Depuis vingt ans nous avons réuni des humanistes visionnaires, scientifiques, écologistes, économistes, paysans, artisans, philosophes, journalistes, artistes, médecins, entrepreneurs divers… qui ont largement sonné l’alerte sur les délires et les dérives de notre monde matérialiste et consumériste.

Aujourd’hui, l’opinion publique est parfaitement convaincue des changements inéluctables que requiert l’état de la planète dans nos comportements et nos modes de vie.

Mais : comment ? à quel rythme ? et dans quelles perspectives ?

Trois questions fondamentales qui feront l’objet de ces rencontres estivales en Sologne , sur le concept d’ « AUTONOMIA », l’autonomie collective au service du progrès et de l’intérêt supérieur de la Vie.

En effet lorsque l’on regarde le fonctionnement des groupes humains et des sociétés aux grandes époques troublées de l’Histoire, et dans les grandes crises de civilisation, on observe un dénominateur commun en direction de la Terre Nourricière ou de la Mère- Nature en général, considérée comme planche de salut, réparatrice de tous nos maux.
C’est le mystère du jardin des origines « Le Paradyi » en langue persane… C’est celui qu’ont chanté tous les poètes, de tous les temps…

Comme celui du désir exprimé par la très belle parabole de Hi K’ang, qui nous ramène au jardin d’Eden, mythe universel du paradis terrestre, hâvre de paix dans un monde de violence et de fureurs ,

« contrastes rassurants que ces paisibles jardins et ces vergers tranquilles, si proches des habitations et des populations pacifiques quand rugissent et déferlent au dehors les dévastations. Quel plaisir alors que de se promener dans son jardin. On fait ainsi le tour de l’infini ».

Le jardin c’est le résumé du monde, de l’univers et de l’Homme, un espace à sa dimension…Nous célèbrerons cette année, encore, un certain art de vivre par la beauté, les saveurs, les savoir-faire, le bien-être, et l’amour de la nature.

Si nous avons besoin de redonner un sens à notre existence et à nos rapports humains, les valeurs communes de la terre s’imposent à nouveau avec la diversité de ses richesses floristiques, potagères et fruitières. Elles seront mises en scène magistralement par le génie créateur de nos intervenants adeptes de l’autonomie et de l’Intelligence Collective.

Tout le monde semble aujourd’hui touché par cette quête d’autonomie, d’authenticité, de simplicité, d’harmonie, qui privilégie les activités proches de la nature : jardinage, tourisme vert, agriculture biologique, recyclage écologique, commerce équitable, énergies vertes, terroirs, patrimoine, traditions…
Ils sont une réponse à la crise de civilisation, à la perte des repères sociaux et culturels que nous connaissons.
Tous ces comportements traduisent le besoin de ré-enchantement du monde face aux inquiétudes sur l’avenir. C’est le retour à la sérénité de la campagne qui s’impose en ces périodes troublées qu’illustrent les grandes migrations hebdomadaires des citadins.

Comme l’histoire est cyclique, nous les retrouvons aujourd’hui ces réponses à notre quête de sens, après avoir cru pendant deux siècles que « le bonheur était une grande usine… »

L’Autonomie Collective est un formidable enjeu pour retrouver notre essence profonde, nos liens sociaux, notre bien-être et notre joie de vivre ensemble.

Nous essaierons d’y consacrer le meilleur de nous-mêmes pendant ces trois jours de réflexion commune et de partage, dans la joie et la bonne humeur.

Philippe Desbrosses
Président d’Intelligence Verte.

 

 

 

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20 juillet 2012 5 20 /07 /juillet /2012 14:17

 

 

 

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17 avril 2012 2 17 /04 /avril /2012 08:02

 

Appel du Dr Rath aux populations d'Allemagne, d'Europe et du monde entier, Berlin le 13.03.2012


 

Au cours de cet évènement en date du 13 mars 2012 , le Dr Rath fait un appel aux populations allemandes et européennes les invitant à prendre leurs responsabilités. C' est un appel pour la construction d' une Europe démocratique pour le peuple et par le peuple --pour la construction d' un monde nouveau basé sur un système de soins de santé ayant comme objectif la prévention et l' éradication des maladies. Les résultats scientifiques disponibles de la recherche sur les remèdes naturels sont clairs là-dessus , ils ramèneront la part des maladies actuelles de civilisation à leur simple expression par rapport à la situation actuelle . Mais ce « stupéfiant monde sans maladie » ne nous est pas offert -car chacune de ces maladies constitue, pour l' industrie pharmaceutique , un marché en milliards de dollars !

 

Si nous voulons créer un monde exempt de maladies pour nous et nos enfants :nous devons nous-mêmes nous engager . Maintenant.. !

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Présentation

  • : les enfants de la nouvelle terre
  • : Ce congrès consacré aux jeunes et à leur planète se veut positif. Il y sera démontré que seuls une prise de conscience générale et une volonté d'intégrer de nouveaux concepts (autant dans le domaine de la santé que dans celui de l'agriculture) feront basculer l'avenir de l'Homme et sa planète. La santé globale des jeunes préoccupe : Asthme, allergies à de nombreuses substances, diabète, surpoids. Pourquoi autant d'autistes ...
  • Contact

et si c'était autre chose

 

proverbe africain

Quand un enfant nait différent, c'est qu'il a quelque chose de différent à faire

Dr Françoise Berthoud

Que nous soyons
thérapeutes, enseignants
ou simples observateurs de la société,
nous savons
que les troubles du comportement de l'enfant
sont un défi dans beaucoup de familles.
 
Quant à l'autisme,
il s'agit d'une véritable révolution
dans la compréhension de son origine
et de sa fréquence.
 
Dr Françoise Berthoud

Texte Libre

Nouvelle Terre

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