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15 octobre 2014 3 15 /10 /octobre /2014 03:53

 

Bonjour,
Ils remettent ça ! le ZIZI SEXUEL revient à Paris après y avoir fait ses débuts en 2007.
Ce qui m'étonne, c'est que ça fait 7 ans que l'expo tourne en Europe et en France...Elle a démarré à Paris en 2007 et revient à Paris... pour une expo temporaire comme ils disent... une expo. de 10 mois !!!!

 Du 14 octobre 2014 au 2 août 2015 à la cité des Sciences

Je n'en avais jamais entendu parler jusqu'à le lettre de A.Blondel (ci-dessous). Et ce qui m'étonne encore plus - c'est que ce fut un succès !
Au total, l'expo "Zizi sexuel" a été vue par un demi-million de personnes en France et en Europe.
Ai-je pris un coup de vieux - ai-je loupé une marche ?
faites-vous une idée en faisant des recherches sur le net et dites moi ce que vous en pensez.
En tout cas, j'ai signé la pétition.
http://www.cite-sciences.fr/fr/au-programme/expos-temporaires/zizi-sexuel/
Magda

 

 

Chers amis,

Dans les semaines qui viennent, des milliers d'élèves vont être emmenés par leur école à l'exposition du « Zizi sexuel », à la Cité des Sciences à Paris.

Cette exposition, qui présente de multiples scènes de coït explicites, s'adresse aux enfants dès 8-9 ans sous prétexte que « les ados sont taraudés par le sexe ».


Vous avez peut-être comme moi un enfant de 9 ans dans votre entourage. Franchement, avez-vous l'impression qu'il soit déjà « ado » et « taraudé par le sexe » ?

Si c'est le cas, et que vous voulez l'encourager, alors ne signez surtout pas cette pétition.

Mais ma nièce, elle, joue à la corde à sauter avec ses copines, dessine des princesses, fait du vélo, joue à l'élastique, à chat, et à la marelle (oui, certains jeux sont indémodables). D'accord, elle a aussi une console de jeux.

Quand même… où donc vont-ils trouver ces enfants de 9 ans « taraudés par le sexe » ?

Et pourtant des milliers d'élèves vont encore être amenés par leurs professeurs des écoles à cette exposition du « Zizi sexuel », avec la bénédiction du ministère !

Mais dans quel but ? Pour leur apprendre quoi ?


• Dans cette exposition, les enfants sont invités à appuyer sur une pédale pour provoquer l'érection, puis l'éjaculation d'un mannequin.


• Ils doivent manipuler la langue de deux marionnettes grandeur nature pour apprendre « à se rouler une pelle ».


• On les fait se coucher sur le lit d'une chambre conjugale pour visionner des scènes d'amour.

• Dans une salle où il est interdit aux adultes d'entrer, on leur fait mettre des écouteurs pour entendre des propos sur la masturbation et l'homosexualité, que je vous laisse imaginer.


L'Éducation nationale, qui a participé à l'organisation en tant que « conseil », apporte également l'essentiel des recettes financières de cette exposition (qui est, par le fait même, un « succès ») en y envoyant des milliers de classes, le plus souvent à l'insu des parents.


C'est pourquoi SOS Éducation lance aujourd'hui une grande pétition : Non au "Zizi sexuel" ! Ne bâclons pas l'éducation sexuelle de nos enfants !

Nous voulons que les parents soient systématiquement informés du contenu précis de cette exposition, et que l'école ne l'impose pas à nos enfants.

Pour signer cette pétition, cliquez ici.

L'itinéraire de visite, disponible sur le site officiel, donne le ton : Titeuf amène son père qui « croit encore que c'est les cigognes qui apportent les bébés ».

Le trait d'humour aurait pu faire sourire. Et le personnage de Titeuf est en effet très séduisant pour les enfants. Mais le dessin est à l'image du reste : débilisé et passif, le parent laisse l'enfant prendre l'initiative et faire ses propres expériences seul.

À travers ce parcours, les parents sont dévalorisés ou tenus à l'écart, comme par exemple dans ce « coin des pré-ados (interdit aux adultes) »… où des adultes peuvent parler de sexualité - toujours avec humour pour que l'enfant soit plus réceptif, sans le regard de ses parents.

On y apprend notamment que l'idéal des jeunes filles est d'avoir de gros seins, quitte à faire semblant. Le ton de l'humour et l'usage du dessin permettent d'évacuer la question de fond (de l'image de soi, du regard des autres), et de laisser l'image d'une femme fièrement siliconée sous un bikini aux couleurs des USA.

Non seulement on implique les enfants dans des pratiques qui n'ont rien à voir avec leur propre vécu, en leur instillant des images de pseudo-libération sexuelle, d'un autre âge, par une manipulation évidente...
mais en plus, on insinue que les parents n'ont rien à dire, en coupant les enfants des repères familiaux essentiels pour se structurer.

Si vous avez peur de réagir, de passer pour coincé, si vous trouvez normal de catapulter des enfants de 8-9 ans dans une sexualité d'adulte, au flirt et à la mécanique sexuelle, fermez ce mail.

Mais si vous êtes choqués comme nous par ce « succès » fabriqué, alors signez la pétition Non au "Zizi sexuel" ! Ne bâclons pas l'éducation sexuelle de nos enfants ! et transmettez ce mail à tout votre carnet d'adresses.

Il faut absolument que nous soyons le plus grand nombre possible à protester.
Merci infiniment, par avance, de tout ce que vous pourrez faire pour les enfants.

Antoine Blondel
Responsable de la relation Parents-Professeurs
SOS Éducation

P.S. Dans la brochure qui leur sert de manuel pendant le parcours, les enfants ont pour images des relations amoureuses des images violentes (toujours sous couvert d'humour) ou explicitement sexuelles. Dans le document remis aux enseignants (disponible sur Internet), on va même jusqu'à avancer que la « pornographie ne perturbera pas leur comportement, leur vie sexuelle plus tard » !

Signez la pétition pour exiger que les parents soient vraiment informés et puissent décider eux-mêmes si leurs enfants doivent aller voir cette exposition.



Antoine Blondel
Responsable des relations parents - professeurs
SOS Éducation

 

 


 
 

 

 









   
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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 19:39
Il était une fois...... LES ABEILLES VERTES.....
 
 
Un jour, l'une de nous eut l'idée de lancer le verbe sur un sujet qui lui causait interrogations et colère, l'ECOLE.
D'autres, qui partageaient son point de vue, ont aussitôt répondu à l'appel.
C'est ainsi qu'un groupe s'est formé, portant le même idéal.
Créer de belles écoles pour que les enfants puissent y éclore avec bonheur.
Et comme toutes ont le goût du ménage bien fait, elles décidèrent qu'il fallait dépoussiérer  à grands coups de torchon les étagères de l'Education Nationale.
Fini, les horaires hallucinants les fesses clouées sur une chaise !
 Fini, les devoirs à faire aussitôt sortis de l'école !
Fini, les cadences infernales !
Fini, les classes surchargées !
Fini, les enseignants stressés et mal considérés par leur hiérarchie !
Fini, les enseignements livresques et théoriques ! 
Fini, les terrains de jeux et les cours extérieures bitumées, froides, tristes, sans arbres ni herbes folles !
 Fini, les rechignades et mal au ventre  des enfants les matins d'école !
Fini, leurs petits yeux fatigués !
FINI FINI FINI !
Du courage et  de la détermination, chacune en ayant à revendre, elles fondèrent un groupe solidaire et fort : LES ABEILLES VERTES.
 
 
Toutes sont d'accord pour constater que ces dernières décennies ont vu grandir une génération d’enfants bien particulière qui ne veut et ne peut absolument se contenter du monde obsolète que nous leur laissons et encore moins  du système éducatif logique et froid dans lequel ils ne s’épanouissent pas.
Même si, de par le monde, la voix des enfants a été entendue et que de nombreuses initiatives continuent de voir le jour, tout reste à faire.
Ces enfants viennent avec un savoir-faire abouti qu’ils n’auront de cesse de proposer à leur famille et à la société. Ils sont porteurs d’idées et concepts évolutionnaires pour notre humanité et, si nous prenons la peine de les écouter et les entendre, nous pourrons découvrir leur grand talent créatif.
Pour toutes ces raisons, à nous, adultes, il incombe de les accueillir,  les entendre et les accompagner dans la mise en place de leurs projets. A nous de redéfinir nos institutions, nos écoles, tout ce qui touche les jeunes; créer les structures officielles dont ils ont besoin, implanter des ateliers innovants, créer des entreprises, leur faire administrer nos bureaux d’étude.
Les Abeilles Vertes se concertèrent pour « plancher » sur une école largement ouverte à tous les enfants, chacun accueilli dans sa différence, et s'accaparèrent cette belle phrase provenant d'une tribu d'Afrique du Sud :
 
« Si un enfant naît différent,
 C’est qu'il a quelque chose de différent à faire ».
 
 
DE NOUVELLES ECOLES POUR UNE NOUVELLE GENERATION
 
 
Le choix de la Technique Freinet : en constante évolution
 
Elle permet, dès le plus jeune âge, de débattre en groupe, interroger, observer en silence, émettre ses propres hypothèses, les partager avec les autres, selon le désir et la spécificité de chaque enfant, chaque fois avec plaisir,
Elle favorise l’esprit d'invention, la communication, l'implication, le dialogue, le respect mutuel, la collaboration, permettant au jeune d'acquérir ainsi confiance en soi et en ses possibilités de progresser par lui-même,
Elle permet aux enfants de choisir, à différents moments de la journée, le travail coopératif ou l'organisation individuelle,
Elle permet que chaque enfant puisse prendre la parole et exprimer sa vision personnelle sur tous sujets,
Elle s’appuie sur la compréhension beaucoup plus que sur la mémorisation,
Elle permet d'allumer le désir  spontané d'apprendre par l'émulation plutôt que par la compétition,
Elle ne classe ni ne note,
Elle a une vision large  tournée vers le monde extérieur,
Elle conduit chaque enfant au respect de soi, à la dignité,
Toutes ces pratiques développent la personne, rendent les enfants responsables, entreprenants, autonomes, curieux, capables d'autodiscipline et surtout, optimistes, ayant foi et espoir en la Vie.
 
 
Ces écoles ont pour objectif l’acceptation des enfants dans ce qu’ils sont, avec leurs différences. Accueillis dans un cadre de vie en pleine nature par des maîtres exemplaires, formés à la technique d’apprentissage Freinet, ces jeunes s'y s’épanouissent en toute quiétude.
 
A leur disposition selon les lieux :
 
-     Une ferme, un potager que les enfants gèrent sous forme de coopérative,
-     Un centre multimédia où livres et nouvelles technologies sont tout à fait complémentaires,
-     Une miellerie,
-     Un espace créatif pour tous les arts,
-     Une cantine auto gérée,
-     Des ateliers de pratiques manuelles – savoir-faire ancien et d'avant garde, accueillant des personnes de tous âges voulant partager avec les jeunes leurs talents et expériences en tous domaines.
-     Et bien d'autres éléments spécifiques à chaque projet.
 
Les jeunes observent et expérimentent par eux-mêmes entourés d'enseignants patients et à l'écoute créant ainsi une ambiance sécurisée à la fois sereine et joyeuse pour tous.
 
Il serait réducteur de résumer ce magnifique projet par ces quelques lignes,
Aussi,
Si vous souhaitez contribuer à son émergence,
De quelque façon que ce soit,
Nous vous invitons à nous rejoindre.
 
Ne dit-on pas que l'union fait la force ?
 
Vous êtes intéressés ? Merci de contacter les Abeilles Vertes
 
 
Magda-Rita MAFFEZZOLI :
                0613951771 (sms)
 mafejolie@gmail.com   Skype : mafejolie
 
Françoise DIEU :
                061319772
dieufrancoise@gmail.com Skype : francoisedieu
 
Emmanuelle TEMPLE :
                0663853418 
emmatemple@aol.com  Skype : emmanuelletemple
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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 19:34
Il était une fois...... LES ABEILLES VERTES.....
 
 
Un jour, l'une de nous eut l'idée de lancer le verbe sur un sujet qui lui causait interrogations et colère, l'ECOLE.
D'autres, qui partageaient son point de vue, ont aussitôt répondu à l'appel.
C'est ainsi qu'un groupe s'est formé, portant le même idéal.
Créer de belles écoles pour que les enfants puissent y éclore avec bonheur.
Et comme toutes ont le goût du ménage bien fait, elles décidèrent qu'il fallait dépoussiérer  à grands coups de torchon les étagères de l'Education Nationale.
Fini, les horaires hallucinants les fesses clouées sur une chaise !
 Fini, les devoirs à faire aussitôt sortis de l'école !
Fini, les cadences infernales !
Fini, les classes surchargées !
Fini, les enseignants stressés et mal considérés par leur hiérarchie !
Fini, les enseignements livresques et théoriques ! 
Fini, les terrains de jeux et les cours extérieures bitumées, froides, tristes, sans arbres ni herbes folles !
 Fini, les rechignades et mal au ventre  des enfants les matins d'école !
Fini, leurs petits yeux fatigués !
FINI FINI FINI !
Du courage et  de la détermination, chacune en ayant à revendre, elles fondèrent un groupe solidaire et fort : LES ABEILLES VERTES.
 
 
Toutes sont d'accord pour constater que ces dernières décennies ont vu grandir une génération d’enfants bien particulière qui ne veut et ne peut absolument se contenter du monde obsolète que nous leur laissons et encore moins  du système éducatif logique et froid dans lequel ils ne s’épanouissent pas.
Même si, de par le monde, la voix des enfants a été entendue et que de nombreuses initiatives continuent de voir le jour, tout reste à faire.
Ces enfants viennent avec un savoir-faire abouti qu’ils n’auront de cesse de proposer à leur famille et à la société. Ils sont porteurs d’idées et concepts évolutionnaires pour notre humanité et, si nous prenons la peine de les écouter et les entendre, nous pourrons découvrir leur grand talent créatif.
Pour toutes ces raisons, à nous, adultes, il incombe de les accueillir,  les entendre et les accompagner dans la mise en place de leurs projets. A nous de redéfinir nos institutions, nos écoles, tout ce qui touche les jeunes; créer les structures officielles dont ils ont besoin, implanter des ateliers innovants, créer des entreprises, leur faire administrer nos bureaux d’étude.
Les Abeilles Vertes se concertèrent pour « plancher » sur une école largement ouverte à tous les enfants, chacun accueilli dans sa différence, et s'accaparèrent cette belle phrase provenant d'une tribu d'Afrique du Sud :
 
« Si un enfant naît différent,
 C’est qu'il a quelque chose de différent à faire ».
 
 
DE NOUVELLES ECOLES POUR UNE NOUVELLE GENERATION
 
 
Le choix de la Technique Freinet : en constante évolution
 
Elle permet, dès le plus jeune âge, de débattre en groupe, interroger, observer en silence, émettre ses propres hypothèses, les partager avec les autres, selon le désir et la spécificité de chaque enfant, chaque fois avec plaisir,
Elle favorise l’esprit d'invention, la communication, l'implication, le dialogue, le respect mutuel, la collaboration, permettant au jeune d'acquérir ainsi confiance en soi et en ses possibilités de progresser par lui-même,
Elle permet aux enfants de choisir, à différents moments de la journée, le travail coopératif ou l'organisation individuelle,
Elle permet que chaque enfant puisse prendre la parole et exprimer sa vision personnelle sur tous sujets,
Elle s’appuie sur la compréhension beaucoup plus que sur la mémorisation,
Elle permet d'allumer le désir  spontané d'apprendre par l'émulation plutôt que par la compétition,
Elle ne classe ni ne note,
Elle a une vision large  tournée vers le monde extérieur,
Elle conduit chaque enfant au respect de soi, à la dignité,
Toutes ces pratiques développent la personne, rendent les enfants responsables, entreprenants, autonomes, curieux, capables d'autodiscipline et surtout, optimistes, ayant foi et espoir en la Vie.
 
 
Ces écoles ont pour objectif l’acceptation des enfants dans ce qu’ils sont, avec leurs différences. Accueillis dans un cadre de vie en pleine nature par des maîtres exemplaires, formés à la technique d’apprentissage Freinet, ces jeunes s'y s’épanouissent en toute quiétude.
 
A leur disposition selon les lieux :
 
-     Une ferme, un potager que les enfants gèrent sous forme de coopérative,
-     Un centre multimédia où livres et nouvelles technologies sont tout à fait complémentaires,
-     Une miellerie,
-     Un espace créatif pour tous les arts,
-     Une cantine auto gérée,
-     Des ateliers de pratiques manuelles – savoir-faire ancien et d'avant garde, accueillant des personnes de tous âges voulant partager avec les jeunes leurs talents et expériences en tous domaines.
-     Et bien d'autres éléments spécifiques à chaque projet.
 
Les jeunes observent et expérimentent par eux-mêmes entourés d'enseignants patients et à l'écoute créant ainsi une ambiance sécurisée à la fois sereine et joyeuse pour tous.
 
Il serait réducteur de résumer ce magnifique projet par ces quelques lignes,
Aussi,
Si vous souhaitez contribuer à son émergence,
De quelque façon que ce soit,
Nous vous invitons à nous rejoindre.
 
Ne dit-on pas que l'union fait la force ?
 
Vous êtes intéressés ? Merci de contacter les Abeilles Vertes
 
 
Magda-Rita MAFFEZZOLI :
                0613951771 mail  mafejolie@gmail.com   Skype : mafejolie
 
Françoise DIEU :
                0613197727 mail  dieufrancoise@gmail.com Skype : francoisedieu
 
Emmanuelle TEMPLE :
                0663853418 mail emmatemple@aol.com  Skype : emmanuelletemple
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21 septembre 2014 7 21 /09 /septembre /2014 14:44

Bonjour,

attendons avec impatience la traduction du livre : Anna, l'école et le Bon Dieu !

Magda

Grand Entretien avec Richard David Precht

"Notre école est un crime"

 

sans-titre-1_4.jpg

 

 

Très populaire outre-Rhin, ce philosophe allemand démontre l'archaïsme du système scolaire occidental...

[EXTRAIT - Entretien à lire en intégralité dans CLES Août-Septembre]
Sa célébrité n’a pas encore vraiment atteint la France mais, en Allemagne, depuis sept ans, c’est un phénomène. Comment expliquer le succès de Richard David Precht, dont certains ouvrages se sont vendus à plus d’un million d’exemplaires ?
L’intéressé pense tenir la clé : “Je joue dans mon pays un rôle qui n’était jusqu’ici occupé par personne : celui du philosophe public, qui parle à la télé.
De notre côté du Rhin, nous n’avons pas la culture des philosophes comme Sartre, Camus, Derrida, Deleuze ou Foucault (aujourd’hui Comte-Sponville, Onfray, Ferry, Enthoven et, bien avant eux, Voltaire, Rousseau, Diderot) qui interviennent dans la vie publique et que personne ne s’étonne de voir s’exprimer sur tout, de la politique à l’amour. Outre-Rhin, même Habermas ou Adorno, les plus fameux contestataires des années 1960-70, demeuraient à l’intérieur du cadre académique et n’auraient jamais fréquenté un talk-show télévisé.”
Precht, lui, a été lancé par son passage dans l’émission d’Elke Heidenreich, la Bernard Pivot allemande, pour son best-seller au titre surréaliste,“Qui suis-je et, si je suis, combien ?”. Une quête kantienne rédigée comme un thriller, dans un langage souvent drôle (qui contraste avec l’air hypersérieux que son auteur affiche généralement) et mélangeant le doute cartésien et “Star Trek”, l’enthousiasme nietzschéen et le triomphe des Rolling Stones, la caverne de Platon et la cyberréalité…
Bref, un raconteur d’histoires provocateur, qui aime replacer les grands auteurs philosophiques et leurs lecteurs dans leurs contextes de vie respectifs. 
L’homme est par ailleurs un passionné de sciences, notamment de neurologie. Une passion qui, curieusement, l’amène aujourd’hui à focaliser son attention sur l’école et la pédagogie. Et à proposer une véritable utopie éducative pour le XXIe siècle. C’est surtout pour cette raison que nous désirions le rencontrer.

A vous lire, vous auriez pu aussi bien devenir scientifique que philosophe. Le cerveau, l’embryon, l’évolution : les sciences naturelles vous passionnent…

Oui, depuis l’enfance ! Paradoxalement, je les aimais tant que je n’ai jamais voulu les mêler à la chose scolaire. Je ne les ai pas étudiées à l’université, par peur d’être déçu par le commentaire desséchant qu’on m’en ferait. J’ai donc étudié la philosophie, tout en me tenant informé par moi-même des avancées des sciences du vivant.
Si nous nous trouvions devant un aquarium tropical, je pourrais vous en décrire tous les habitants, leur physiologie, leurs mœurs. Je passe des heures avec des biologistes ou des éthologues qui sont souvent surpris de tomber sur un philosophe si épris de leurs travaux.

Votre dernier livre, « Anna, l’école et le bon Dieu » (pas encore traduit en français), utilise les récentes découvertes sur le cerveau pour s’attaquer férocement au système scolaire occidental dont vous dites qu’il « trahit nos enfants »…

Absolument. Pourquoi diable l’école resterait-elle obstinément étanche à toutes les découvertes des neurocognitivistes, des psychologues du développement, des évolutionnistes, des linguistes, des anthropologues ? Le monde des grandes entreprises est souvent plus éclairé que nos écoles qui continuent à fonctionner, au fond, sur le modèle de la société industrielle, vieux de plus d’un siècle. 
http://www.cles.com/debats-entretiens/article/notre-ecole-est-un-crime


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29 août 2014 5 29 /08 /août /2014 20:17

Ce que pense Farida Belghoul de la théorie du genre

21-05-2013-20-36-01Étrange époque que celle où il faut aller chercher chez d’anciens activistes communistes une critique claire et percutante de l’insoutenable trahison de l’Education nationale. Nous avons en effet découvert par hasard une vidéo qui mérite  à notre sens d’être bien regardée. 

Il s’agit d’une interview filmée de Farida Belghoul, agrémentée de documents photographiques et vidéo, qui  explique comment l’école publique a coupé l’enfant de toutes ses racines, d’abord celles de la religion, puis celles de la culture, de la famille…

 

 

 


Farida Belghoul sur la théorie du genre par ERTV

Farida Belghoul est un ancien professeur titulaire de l’Education nationale. Militante, romancière et cinéaste, elle a fondé le REID, dispositif de « remédiation éducative individualisée à domicile », qui s’inspire aussi de sa pratique de mère faisant l’école à la maison. Cette initiative (le REID) a pour but de mettre en place un dispositif individualisé de soutien pour sortir des jeunes de l’illettrisme. Ce sont les grandes émeutes de 2005 qui ont poussé Farida Belghoul à prendre cette initiative.

 

Son intuition : ces jeunes émeutiers ne seraient pas devenus des « racailles » si l’Education nationale avait fait son travail : leur apprendre à lire, écrire, compter, calculer, travailler !

 

 

extrait de la vidéo :

"...Je dis solennellement aujourd'hui,

aux parents en particulier,
qu’il est temps de défendre nos enfants,
parce que si vous avez voulu qu’ils soient athée,
ils le sont
Si vous avez voulu qu’ils soient illettrés,
ils le sont.
Allez-vous désormais vouloir qu’ils deviennent LGBT ,

l’histoire de l’école laïque partie de la devise
Liberté Egalité Fraternité
nous amène finalement à considérer qu’une autre devise se cache derrière ces trois mots magiques : Athée - Illettré - LGBT…"


 


http://www.liberte-scolaire.com/les-videos/farida-belghoul-theorie-du-genre/

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29 août 2014 5 29 /08 /août /2014 19:36

 

L’école de Sudbury Valley : l’école médiathèque où l’on s’instruit soi-même

L’école américaine de Sudbury Valley, sise à Framingham (Massachusetts), apporte la preuve qu’une école peut être libérale tout en n’étant pas étroitement élitiste[1], attachée à l’émancipation et à la promotion des jeunes sans être « républicaine » et jacobine, moderne et fondée sur l’autonomie de l’élève sans puiser son inspiration dans une idéologie libertaire ou socialiste. Pour Yves Morel, l’offre éducative des écoles Sudbury permet, d’une part, d’offrir aux jeunes une formation de qualité sans les soumettre à une sélection aveugle et, d’autre part, de leur faire faire l’apprentissage de la liberté qui mène au savoir, et non à l’anarchie.


Fondée en 1968 par David Greenberg, alors jeune professeur de sciences physiques à l’université de Columbia (New York), aidé par son épouse Hanna et une jeune éducatrice novatrice, Mimsy Sadofsky, cette institution met en pratique un mode d’éducation et d’instruction reposant sur la seule et libre curiosité de l’élève. Ce mot ne recouvre  pas, en l’occurrence, la même réalité que dans nos écoles « républicaines ». Il ne s’agit ni de l’élève en blouse grise de la « communale » ferryste, ni du membre de la communauté scolaire de Freinet, ni de l’apprenti-citoyen de Dewey, ni de l’élève adonné à des travaux personnels encadrés à la Pantanellaou à la Meirieu, ni de l’élève des écoles libres « select » à la fois élitistes de vocation et modernes quant aux pratiques. L’élève de l’école de Sudbury Valley n’est rien de plus qu’un jeune garçon ou une jeune fille qui se rend dans une institution ressemblant à une médiathèque, afin de s’instruire soi-même par la lecture et des exercices, seul(e) ou avec ses condisciples, avec ou sans l’aide d’un enseignant, selon son envie et sa curiosité, à son rythme, mû(e) par la seule ambition - confondue avec le désir - de savoir, sans esprit de compétition, sans l’obsession du succès, du « mérite », sans la crainte de l’échec et de la déconsidération. Ilne s’agit ici ni de préparer la ventilation des situations sociales « en toute équité », ni de « changer la société pour changer l’école, changer l’école pour la société ». On ne se soucie ni de perpétuer les inégalités, ni d’édifier une société utopique sous la houlette d’un Etat démiurge. Le maître mot, tout simple, mais qui nous est tellement étranger dans notre « hexagone » (une métaphore géométrique éloquente, à moins dire), est : liberté. La liberté, qui, à nos yeux de Français, ne peut avoir de valeur et de réalité qu’à la condition d’être proclamée, définie, codifiée (et, par là même, bornée sinon niée), octroyée par l’Etat.


Principes et caractères généraux de l’enseignement et de la vie scolaire à l’école de Sudbury Valley

A Sudbury, la liberté se présente moins comme un principe solennellement proclamé que comme une réalité vécue. L’élève y est libre, et cette liberté n’a rien d’abstrait ou de fabuleux. Sudbury repose sur des idées si évidentes qu’elles ressemblent plus à des données naturelles ou des constatations de bon sens qu’à des postulats, des principes ou des théories. La première est que l’enfant, l’homme, en fait, est naturellement curieux et désireux de connaître et comprendre. La seconde tient en ce que l’on n’apprend bien que ce que l’on choisit d’apprendre, sans contrainte. La troisième affirme que cette liberté ne suscite pas la paresse, le refus de l’effort et l’abandon à des engouements passagers changeant au gré des fluctuations capricieuses de la curiosité personnelle. Au contraire, la volonté de surmonter les difficultés de l’apprentissage est d’autant plus forte que l’enfant ou l’adolescent a librement choisi son objet d’étude et a fait de sa connaissance un but.

Aussi, à Sudbury, les jeunes entrent et sortent quand ils veulent et apprennent ce qu’ils veulent et quand ils le veulent. Aussi bien peut-on difficilement les qualifier d’« élèves ». En fait, ils s’élèvent eux-mêmes par une quête - et une conquête - toute personnelle de la connaissance. De même, Sudbury est assez improprement appelé school. Il n’y existe pas de salles de classe, mais de vastes pièces confortablement meublées et largement pourvues de livres, où les jeunes lisent ou font des exercices. Il existe également des laboratoires scientifiques, des laboratoires de langues, des ateliers et des salles et terrains de jeux et de sports. Les jeunes s’adonnent aux activités qui leur conviennent, peuvent même s’absenter ou ne rien faire, travaillent seuls ou en petits groupes, avec ou sans l’aide d’un adulte. Les enseignants n’interviennent qu’auprès des élèves qui sollicitent leur concours. Celui-ci se manifeste sous les aspects les plus divers : conseil, aide ponctuelle, accompagnement didactique et pédagogique, cours particulier ou donné à des groupes restreints. La notion de classe d’âge ou de niveau est inconnue ici, et les groupes sont informels, éphémères et multiples - un élève peut appartenir à différents groupes. L’élève travaille le plus souvent seul, de sa propre initiative, s’agrège occasionnellement à divers groupes constitués pour faire des exercices, étudier ou permettre à ses membres de s’entraider, demande des explications à un professeur, suit le cours ponctuellement donné par celui-ci à quelques camarades. Il lit, travaille sur papier ou écran, fait des expériences scientifiques élémentaires, regarde et écoute des enregistrements, pratique un sport, joue, et, parfois, ne fait rien du tout. Et, n’en déplaise aux Brighelli, Fanny Capel, Rama Yade et autres thuriféraires de notre « Ecole républicaine », un tel mode d’acquisition du savoir n’engendre pas l’ignorance et le laisser-aller. Les élèves de Sudbury Valley School ne paressent pas, ni ne lambinent ou végètent dans des rudiments de connaissances mal digérés. Au contraire, ils manifestent en tout une très grande exigence envers eux-mêmes, se remettent en question, et cherchent toujours de nouvelles difficultés à surmonter. Ils se lancent constamment de nouveaux défis. La difficulté les stimule dans la mesure même où elle découle de leur libre initiative.


Conditions d’admission et certification

Sudbury Valley School admet comme élève tout jeune de quatre à vingt ans. L’école étant privée, l’inscription est payante, mais son coût n’est pas prohibitif au regard des normes américaines (7400 $ pour le premier enfant, avec des tarifs dégressifs pour les familles).. Elle est possible à tout moment et valable pour une durée d’un an.


Il n’existe ni examen ni système d’évaluation. Les élèves s’évaluent eux-mêmes grâce à des manuels ou à des systèmes informatiques d’évaluation, et/ou en demandant l’avis d’un professeur, ou encore de par leurs échanges mutuels ou ce que leur révèlent les activités qu’ils mènent ensemble. L’école est habilitée par l’Etat du Massachusetts à délivrer un diplôme d’études secondaires dont l’obtention requiert un travail particulier de l’élève. Celui-ci doit rédiger un court mémoire (appelé « thèse ») non sur un sujet académique d’étude, mais sur le bilan de son séjour dans l’établissement, en lequel il montre qu’il a su acquérir un jugement sain et droit, le goût de l’initiative et le sens des responsabilités. Ce bref travail est lu et apprécié par l’assemblée de l’école qui lui décerne le diplôme s’il a passé au moins quatre ans au sein de l’institution. L’élève n’est pas tenu de demander ce diplôme, mais celui-ci lui sera demandé s’il souhaite effectuer des études supérieures. Les universités et les hautes écoles, y compris les plus prestigieuses, ne le considèrent nullement comme un diplôme fantaisiste.

La suite ici

 

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9 juillet 2014 3 09 /07 /juillet /2014 22:25

Bonjour à tous,

 

Quel bonheur cette vidéo !

 

 

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23 mai 2014 5 23 /05 /mai /2014 02:01

 


 

www.klagemauer.TV

 


J'ai trouvé une analyse intéressante de la théorie du genre mais, même si l'analyse semble juste,


 

Après vérification, je m'aperçois que les discours sont extrêmistes et orientés -  FAITES VOUS UNE IDÉE PAR VOUS-MEMES

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 12:54

 

 

« Même s’il est indispensable que les enfants et les adolescents étudient, qu’ils obtiennent des diplômes, on est obligé de constater que, plus importante que le développement de l’intellect, il y a la formation du caractère. Car l’essentiel, c’est de vivre, ce n’est pas d’être médecin, avocat, ingénieur ou économiste.

 

Et pour vivre, pour affronter toutes les conditions de l’existence, il est important de travailler sur son caractère.

 

L’instruction est une chose et l’éducation en est une autre. Plus que de professeurs érudits, la jeunesse a besoin d’instructeurs qui lui révèlent ce qu’est la vie et comment elle doit la vivre pour que les forces, les qualités, les dons qu’elle possède puissent se manifester en plénitude.

 

Tant qu’on ne mettra pas l’accent sur la formation du caractère, mais seulement sur le développement de l’intellect, les connaissances données aux jeunes dans les écoles et les universités ne serviront qu’à leur réussite personnelle ; et cette réussite, c’est souvent aux dépens des autres qu’ils y parviendront.

 

Mais qu’on leur apprenne à travailler aussi sur leur caractère, à ne pas chercher à utiliser leurs connaissances à leur seul profit, et on verra se lever des êtres capables de faire évoluer toute une société. »

 

Omraam Mikhaël Aïvanhov

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10 avril 2014 4 10 /04 /avril /2014 15:14

 

 

 

 

 

 

 

Les résultats obtenus dépendent directement d’une recherche menée depuis 3 ans en pédagogie, sciences cognitives et linguistique (voir ci-après). Ils s’inscrivent donc dans le cadre d’un protocole précis, en cours de modélisation. Par conséquent, les résultats de la classe ne présagent en aucun cas des résultats de classes ou d’écoles dites "Montessori", dont le cadre théorique et pédagogique diffère.

Trois grands médecins – Jean Itard, Edouard Séguin puis Maria Montessori – ont, l’un après l’autre, posé les jalons successifs d’une recherche pédagogique basée sur l’observation de l’enfant. La proposition qui en découle, fruit d’un siècle de recherche empirique, voit aujourd’hui ses postulats validés par la recherche scientifique et trace ainsi les contours d’un nouvel environnement pour l’école maternelle.

Depuis septembre 2011, nous expérimentons les grands axes théoriques de cette proposition au sein d’une classe d’une école maternelle publique de Gennevilliers, en Zone d’Education Prioritaire et Plan Violence, avec le soutien de la Direction Générale de l’Enseignement Scolaire (DGESCO).

Dès la première année, les enfants ont assimilé spontanément, avec facilité et enthousiasme, les apprentissages proposés de façon sensorielle et progressive. Les tests scientifiques réalisés auprès des enfants l’ont confirmé. Lire, écrire ou comprendre les concepts clés des mathématiques sont des conquêtes rapides et heureuses.

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Ces résultats extrêmement positifs ont été obtenus grâce à un apport pédagogique et théorique concret. Nous avons en effet :
   - Structuré et renforcé la proposition en la mettant en lien avec les sciences cognitives ;

   - Adapté le matériel de langage afin de permettre un apprentissage spontané de la lecture.

Développement des compétences cognitives

Dès la première année, les résultats ont dépassé nos attentes ! Les tests, réalisés par le CNRS de Grenoble, indiquent que tous les enfants progressent plus vite que la norme. Ils l’ont par ailleurs largement dépassée en conscience phonologique, compréhension du nombre, précision visuo-motrice, et ont augmenté de façon spectaculaire leur mémoire de court terme. Les enfants de Moyenne Section avaient tous, dès la fin de la première année scolaire, au moins un an (voire deux) d’avance en lecture.

Développement des compétences émotionnelles et sociales

Le travail et le suivi sont individualisés toute la journée, ce qui permet à l’enseignant de cibler les besoins spécifiques de chaque enfant et d’y répondre au bon moment. Cette individualisation favorise le développement de la personnalité et des potentialités de chaque enfant et permet d’éviter les situations d’échec. Tous les enfants sont placés en situation de réussite.

Par ailleurs, nous ne constatons pas de compétition entre les enfants ; mais plutôt une émulation de groupe encouragée par la mixité des âges (3, 4 et 5 ans) et par les objectifs ambitieux que les enfants se fixent (et atteignent). La collaboration, le tutorat et l’entraide spontanés prennent le pas sur la comparaison et la compétition. La dynamique de groupe est vertueuse et respectueuse des différences de chacun.

De leur côté, les familles ont rapidement noté chez leur enfant une capacité nouvelle à se concentrer, une autonomie importante, des relations sociales apaisées, de l’autodiscipline, ainsi qu’une envie irrépressible de se rendre à l’école, même malades ! Dans un tel environnement, les enfants développent curiosité, volonté, créativité, confiance et estime de soi.

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Modélisation

Ces résultats extrêmement positifs nous indiquent donc qu’une démarche éducative basée sur les lois intérieures du développement de l’enfant, peut avoir un impact réel sur la lutte contre l’échec scolaire et l’illettrisme, mais également sur le développement de qualités humaines telles que la générosité et l’empathie, ainsi que sur l’acquisition de comportements sociaux positifs comme la coopération et l’entraide.

Notre objectif est maintenant de modéliser cet environnement pédagogique pour le rendre duplicable. Encouragée par les résultats de la classe de Gennevilliers – validés par des tests réalisés notamment par des chercheurs du CNRS – une équipe pédagogique et scientifique s’est formée pour accompagner Céline Alvarez dans son travail de modélisation.

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Présentation

  • : les enfants de la nouvelle terre
  • : Ce congrès consacré aux jeunes et à leur planète se veut positif. Il y sera démontré que seuls une prise de conscience générale et une volonté d'intégrer de nouveaux concepts (autant dans le domaine de la santé que dans celui de l'agriculture) feront basculer l'avenir de l'Homme et sa planète. La santé globale des jeunes préoccupe : Asthme, allergies à de nombreuses substances, diabète, surpoids. Pourquoi autant d'autistes ...
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et si c'était autre chose

 

proverbe africain

Quand un enfant nait différent, c'est qu'il a quelque chose de différent à faire

Dr Françoise Berthoud

Que nous soyons
thérapeutes, enseignants
ou simples observateurs de la société,
nous savons
que les troubles du comportement de l'enfant
sont un défi dans beaucoup de familles.
 
Quant à l'autisme,
il s'agit d'une véritable révolution
dans la compréhension de son origine
et de sa fréquence.
 
Dr Françoise Berthoud

Texte Libre

Nouvelle Terre

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